Voici votre texte... Sélectionnez n'importe quelle partie de votre texte pour accéder à la barre d'outils de formatage.

TAP TAP 

Phonétique

[taptap]

Exemple 1 :  Seif Eddine NECHI (2022), L’emprise, commande pour l’application BDKREATOR, accessible en ligne après avoir participé à l’un des ateliers : http://bdkreator.com, planche 1, registre 1, case 3.  Exemple 2 : Seif Eddine NECHI (2020), De plomb et de sang, Apollonia Éditions, Tunis, planche 2, registre 2, case 1 ; accessible en ligne : http://deplombetdesang.com/wpcontent/uploads/2020/10/Deplombetdesang_BD_album.pdf Exemple 3 : Seif Eddine NECHI (2020), De plomb et de sang, Apollonia Éditions, Tunis, planche 27, registre 1, cases 1 ; accessible en ligne : http://deplombetdesang.com/wpcontent/uploads/2020/10/Deplombetdesang_BD_album.pdf

Comment citer cette fiche

SAFFI, S. , (3 octobre 2024), "TAP TAP ", in OTPS, onomatopées traduction plurilingue surbmorphologie, CAER, Aix-Marseille Université : en ligne :https://otps.univ-amu.fr/onomatopees/tap-tap/

Rédaction

Sophie SAFFI

Autres rédacteurs

    • Modifié le : 14/04/2025 à 12:22
      par : Maruszka MEINARD
      Rédacteur/trice : Sophie SAFFI
    • Modifié le : 03/10/2024 à 12:51
      par : Sophie Saffi
      Rédacteur/trice : Sophie SAFFI

    Onomatopée dont l’auteur Seif Eddine Nechi revendique la création, et qu’il utilise pour le bruit des pas ou le tapotement de la main sur une surface. 

    Variations de structures

    TAP seul non trouvé, l’onomatopée est toujours doublée et triplée (TAP TAP et TAP TAP TAP) chez cet auteur, certainement pour rendre le caractère répétitif des bruits de pas ou du tapotement de la main sur une surface.

    Equivalents dans OTPS

    Equivalents

    Etymologie

    Création de l’auteur qui déclare reproduire le bruit qui l’intéresse. Onomatopée non référencée dans le Trésor de la langue française (http://atilf.atilf.fr).

    Submorphologie

    DESCRIPTION API

    [t] : consonne occlusive, apico-alvéolaire, sourde, orale (type, tôt)

    [a] : voyelle non arrondie, antérieure, ouverte, orale (patte)

    [p] : occlusive, bilabiale, sourde, orale (pie, pot)

    PRONONCIATION DES PHONÈMES

    Pour prononcer [t], la pointe de la langue touche les dents supérieures, l’air bloqué s’accumule dans la bouche puis s’échappe d’un seul coup. Cette fermeture est assimilée à la conception d’une position car le point d’articulation est précis au moment de l’échappement brutal de l’air. Le contact entre la pointe de la langue et les dents est associé à la conception d’une limite. [t] est une consonne sourde, c’est-à-dire que l’air ne résonne pas quand il s’échappe, ainsi /t/ est associée à un mouvement vers l’avant.

    Pour prononcer [a], la langue s’abaisse au fond de la bouche, ce qui entraîne le plus grand degré d’ouverture de la bouche, le locuteur sent le flux d’air sortir par la bouche grande ouverte.

    Pour prononcer [p], les lèvres sont fermées et l’air s’accumule dans la bouche juste derrière les lèvres, puis l’air est relâché d’un seul coup. La fermeture et la réouverture des lèvres permettent au locuteur de définir une position d’extrémité vers l’avant. [p] est une consonne sourde, c’est-à-dire que les cordes vocales ne vibrent pas et l’air ne résonne pas quand il s’échappe, aucun résonateur n’est mobilisé (ni la bouche, ni le nez), c’est pourquoi [p] est associée à un mouvement vers l’avant.

    SENS PREMIER DES PHONÈMES

    La consonne [t] est associée à un mouvement de sortie vers l’avant et à l’accession à une limite d’arrivée.

    La voyelle [a] est associée à la conception d’un espace étendu.

    La consonne [p] est associée à un mouvement de sortie vers l’avant et au pointage d’une limite de départ externe.

    Pour en savoir plus

    Commentaires et spécifités